-
- Histoire de la famille CAPDEPON
-
- Louis & Marie Noémie, et leurs cinq enfants
Marie ETIENNE (eh oui, encore une Marie ! Il y en a des dizaines… et celle-ci, c’est « Marie, Noémie, Léonie, Eugénie » à son acte de naissance) épouse à Lyon en 1880 Louis Sylvain CAPDEPON natif du petit village d’Arudy dans les Pyrénées-Atlantiques. Marie a vu le jour à St. Lattier où son père Eugène était Notaire, et sa mère Gabrielle SAVOYE, fille d’un avocat de Romans. Le grand-père de Marie, c’était Jean ETIENNE, qui fut Maire de la ville durant plusieurs mandats, et dont le travail qu’il fournit lui valut la reconnaissance du Conseil Municipal à sa mort : celle d’une obligation d’entretien de son caveau à perpétuité.
A la mort de son père, en 1877, Marie avec ses frères & sœurs s’installèrent à Lyon où sa mère Gabrielle, alors âgée de 40 ans, ouvrit une maison de soies & étoffes au 27 rue St.Pierre, dans un immeuble appartenant à la famille, (plus tard, Gabrielle ira au 10 rue Bât d’Argent, puis au 17 rue Malesherbes) ; il faut noter qu’entre 1815 et 1890 la fabrique de soie est le principal moteur de développement de la ville de Lyon, on y dénombre selon Wiki 372 maisons.
La maison ETIENNE sera reprise et continuée par son fils Paul, considéré non seulement comme l’un des meilleur « soyeux lyonnais », comme on dit, mais qui s’intéressera à la vie de la capitale des Gaules, devenant Juge au Tribunal de Commerce de Lyon puis Président de la Chambre de Commerce. Mais à l’époque du mariage, Paul n’est qu’un gamin de onze ans, et Louis Capdepon travaille au service de Gabrielle comme représentant de commerce, habitant lui-même l’immeuble familial 27 rue St. Pierre.Le 17 rue Malesherbes de nos jours L’un des témoins du mariage est Félix PAQUEREAU, « teneur de livres » (i.e. comptable) à Lyon, et qui avait épousé quelques années plus tôt Anna ETIENNE, la sœur aînée de notre arrière-grand-père Hippolyte de St.Jean-en-Royans ; tous deux reposent d’ailleurs dans le caveau de St. Jean.
Marie meurt à 36 ans en 1898, quelques semaines seulement après avoir accouché de ses jumeaux Pierre et Marie Capdepon, emportée par une embolie. Léon ETIENNE note dans ses carnets de 1921 : « Mère de famille et épouse admirable, et d'un cœur et d'un dévouement que l'on ne saurait trop louer, elle laisse des regrets unanimes et un grand vide dans la famille. » Elle sera inhumée à St. Lattier après une messe chez les Rédemptoristes à Lyon.La grand-mère va prendre soin des enfants, alors très jeunes, mais lorsque le mari Louis Capdepon meurt à son tour en 1905 à Paris à l’occasion d’un voyage d’affaire, ceux-ci se retrouvent alors totalement orphelins. Gabrielle, l’aînée de 23 ans va se marier et partir en Écosse, aussi c’est la grand-mère qui va s’occuper des deux plus jeunes enfants qui n’ont que 7 ans.Voilà pour le décor. On passe aux enfants…1/ L’aînée c'est Gabrielle, comme sa grand-mère ! Elle va se marier en 1906 à Léonard MASFRANC, un Agent de commerce qu’elle suivra Glasgow, et de qui elle aura une fille, puis en 1919, après son veuvage, avec Émile CLÉMENT, veuf aussi, Avoué Grenoble, et lui-même descendant de Jean ETIENNE le Maire de St. Lattier. De ce second mariage, elle aura une fille, et une petite fille, Marie-Françoise J. de qui je tiens nombre de renseignements généalogiques.En 1945, après la mort des demoiselles BELMONT, Gabrielle CAPDEPON reprend la direction du « Cours Belmont » à Lyon. A l’origine, en octobre 1902, suite à la fermeture des établissements dirigés par les congrégations, Mlles. Angèle & Marie-Louise BELMONT ouvrent un cours privé dans le second arrondissement de Lyon, en plein quartier d'Ainay, au 7, rue du plat. Avec Gabrielle, le Cours Belmont deviendra le Cours BELMONT-CAPDEPON et se réinstallera 43, rue Pasteur dans le quartier de la Guillotière. Gabrielle, pendant plus de trente ans et pleinement consacrée à sa mission d'éducatrice, marquera l'établissement par sa forte personnalité et par sa vitalité, sachant s'adapter à toutes les évolutions de l'enseignement et de la société. Le Cours a fêté son Centenaire en avril 2002 ! Les familles Belmont et Capdepon sont donc liées d’une façon très particulière… comme on va le découvrir par la suite….
Elisabeth Capdepon 2/ Après, vient Elizabeth, dite Lilette. Elle perd sa mère en 1898 à l'âge de huit ans, et son père en 1905 à l'âge de quinze ans. Avec ses frères & sœurs, elle vivra ensuite avec sa grand-mère, madame Eugène Etienne, née Gabrielle Savoye. Initiée à la montagne par son frère Jean, de cinq ans son aîné, elle fut l'une des rares femmes alpinistes de son époque et devint célèbre. Le 16 mai 1909, avec son frère Jean, Elizabeth ouvre une voie (Arête E) vers l'aiguille de la Combe, à 2853m, dans le massif de Belledonne. Morte accidentellement en montagne, Elizabeth a donné son nom à la « Pointe Elizabeth » et à l' « Aiguille Capdepon », dans le massif des Aiguilles d'Argentières. Cette Pointe Elizabeth est une dentelure des petites aiguilles d'Argentières dans le massif d'Allevard, une ascension réalisée la toute première fois par Jean et Elizabeth Capdepon, accompagnés d'Emile Piaget. Elle décède donc à 26 ans en août 1909, lors d'une course de montagne avec son frère Jean et sera inhumée au cimetière de Saint Christophe en Oisans où se trouve cette tombe.
Marie-Françoise J. (petite-fille de Gabrielle) m’indique : « L'acte de décès a été signé, le 9 août par les deux guides qui ont descendu son corps à St Christophe, Jean-Baptiste et Jules Rodier. J'ai eu quelques renseignements supplémentaires sur leur compagnon de cordée, Richard Gley, décédé lui aussi. Son acte de décès, à St Christophe, indique qu'il était était né en 1875, était allemand, domicilié à Berlin, "professeur-chimiste. »
L’accident est relaté ici : Accident de la cordée Capdepon, le 6 août 1909, dans la descente du col des Écrins – de Henri Isselin, "La Barre des Écrins", Arthaud, édition de 1976, pp. 125 à 128.Eglise-mémorial de l'Emm 3/ Ensuite, vient Jean. Les témoins de sa naissance sont Émile Clément, 44 ans, greffier en chef du tribunal civil de Grenoble (oui, le père de l’autre Émile Clément, avoué, qui épousera Gabrielle Capdepon en seconde noces) et Auguste Etienne, 64 ans, rentier à Saint-Lattier, son grand-oncle, un autre des fils de Jean, le maire de St. Lattier. Il a treize ans lorsqu’il perd sa mère, et vingt ans lorsqu’il perd son père. En 1904, il effectue son service militaire comme « engagé volontaire », au 12ème bataillon de Chasseurs alpins stationné à Grenoble ; de là, naît sans doute son goût pour l’alpinisme. Il rentre au Club Alpin Français, il rédige des itinéraires de courses dans son Bulletin. Avec sa sœur, il ouvre en 1909 une nouvelle voie vers l'aiguille de la Combe, à 2853m, dans le massif de Belledonne. En 1909, il est accidenté dans le massif des Ecrins dans une course où sa sœur, Elizabeth, dix-neuf ans, trouve la mort. Lui s’en sortira au prix d’efforts surhumains. (J’ai les récits publiés…).
Mobilisé en 1914, il est sergent, puis sous-lieutenant au 11ème bataillon de Chasseurs alpins et sert dans les Vosges sous les ordres du capitaine BELMONT, de Lyon. Il est blessé une première fois à Gerbewillers le 30 août 1914 ; il est tué à vingt-neuf ans le 17 juin 1915, à Metzeral, Haut-Rhin, où il est enterré avec la mention : « Mort au champ d'honneur ».Il existe l’église de l’Emm, église paroissiale de Metzeral-Sondernach, lieu d’un pèlerinage séculaire dédié à la Vierge (Notre-Dame des Sept douleurs et Notre-Dame des Neiges), une église-mémorial consacrée aux soldats de la Grande Guerre tombés dans les Vosges, notamment lors de la bataille de Metzeral en juin 1915 ; le nom du Sous-Lieutenant Jean Capdepon y figure sur la plaque votive A6 coté Ouest.Citation à l’Ordre de l’armée n°24Les sous-lieutenants Jean Capdepon, Maurice Magnin, Michel Barrière, du 11ème bataillon de Chasseurs :« Officiers remarquables de bravoure et d'entrain. Ont été mortellement frappés en entraînant brillamment leurs sections à l'assaut des tranchées ennemies ».Lettre écrite, en date du 22 juin 1915, par le capitaine Ferdinand Belmont, commandant la 6ème Compagnie de Chasseurs Alpins.« Capdepon a reçu une balle en plein cœur, alors qu'il entraînait ses hommes. Il a trouvé la mort impeccable qui lui convenait. Hier soir, 21 juin, en allant relever son corps dans les herbes et recueillir les objets qu'il avait sur lui, je l’ai trouvé étendu de tout son long dans la pose qu'il avait au moment où la mort l'a surpris, les traits parfaitement calmes, le visage naturel et gardant son expression habituelle. Voilà une mort belle et propre, irréprochable. Jean a dû mourir de la même manière, le 29 août, dans les genêts du Col d'Anosel. Devant de telles morts, on se demande s'il faut plaindre ou envier. La mort de Capdepon est une grosse perte pour la 6ème Compagnie et pour le 11ème. Il était d'une belle trempe et, en le connaissant, peu à peu j'avais appris à l'apprécier. C'était une nature attachante, une âme très sensible, délicate, fière mais généreuse et bonne, éprise d'idéal et dégageant une impression de noblesse.Ceci s'est passé à la prise de Metzeral qui a été très coûteuse pour la compagnie dont je suis resté le seul officier, ayant perdu en une seule journée, 52 hommes, mes trois lieutenants et mon adjudant. « Dieu m’a laissé la vie, je ne sais comment ».
Lettre écrite par le Capitaine Belmont à Madame Etienne, grand-mère de Jean Capdepon.« Ce 24 juillet 1915,Madame,Si les quelques mots que j’adressais à mes parents au sujet de Jean Capdepon peu de jour après qu’il eût trouvé cette mort glorieuse qui honore votre chagrin, si les termes dans lesquels je leur exprimais très imparfaitement mon estime pour lui vous ont vraiment apporté quelque adoucissement à votre épreuve, j’en remercie Dieu.Bien que le nom de votre petit-fils, alpiniste intrépide fût connu bien avant-guerre de tous ceux qu’attirait la montagne, et bien qu’à ce titre j’eusse entendu parler de lui maintes fois, je n’avais jamais eu l’occasion de le rencontrer lorsque le hasard, vers le début de mars, l’amena dans ma Compagnie. Très vite, en le voyant à l’œuvre et en connaissant mieux les hautes qualités qu’il cachait sous sa réserve apparente, j’appris à l’estimer et me félicitai de l’avoir rencontré.J’ai été heureux de le proposer pour le grade de sous-lieutenant et de le voir obtenir ce galon qu’il eût mérité depuis longtemps. Chef de section très actif, d’un courage admirable, estimé et respecté de ses hommes qui sentaient en lui toutes les meilleures qualités du chef, il était, dans cette Compagnie où sa disparition n’a laissé que des regrets, un précieux auxiliaire et un élément de confiance et d’entrain pour tous. Ai-je besoin de vous dire encore combien j’appréciais sa société, sa conversation, et combien j’eus vite fait de me lier à ce compagnon si vivant, si bon, si attachant.Je savais qu’à l’heure des graves devoirs, il serait à la hauteur de sa tâche, quelle qu’elle fût. Il l’a bien prouvé. Du moins sa mort a été digne de lui, simplement, héroïquement rencontrée en conduisant ses hommes sous les obus et les balles, avec ce même calme, cette même attitude froide et résolue qu’il devait avoir autrefois pour forcer un passage difficile de ces Alpes où il avait appris à mépriser le danger et à le terrasser.Devant de pareilles morts, on ne peut qu’admirer et se taire, mais elles ne sont pas inutiles. Leur exemple est plus éloquent que toutes les paroles. Que la certitude de cette générosité poussée jusqu’à l’accomplissement du sacrifice le plus désintéressé soit pour vous, Madame, et pour tous ceux qui l’aimaient, un gage de résignation et de légitime fierté.Pour nous qui l’avions trop peu connu, il laisse un souvenir et un exemple ineffaçables.C’est au nom de tous ses compagnons qui le regrettent et de tous ses hommes qui le vengeront que je vous adresse, Madame, l’expression de notre sympathie respectueuse et l’assurance de notre entier dévouement ».
Vous comprendrez mieux, maintenant, les liens existant entre les deux familles.Pierre Capdepon 4 et 5/ Ensuite, viennent les jumeaux : Pierre & Marie qui naissent en 1898 et passent leur enfance chez la grand-mère à Lyon rue Malesherbe, puis aux Charpennes, enfance et jeunesse marquées par les deuils successifs qui frappent la famille Capdepon. Il ne connaîtront pas leur mère, morte des suites de leur naissance et seront élevé par leur grand-mère. Ils ont sept ans lorsqu'ils perdent leur père, huit ans quand Gabrielle, leur sœur aînée, se marie et part vivre en Écosse, onze ans lorsque leur sœur Elizabeth meurt dans un accident de montagne en Oisans et dix-sept ans quand leur frère Jean est tué au combat dans les Vosges, en juin 1915.
Pierre, désireux de suivre l'exemple de ce frère de douze ans son aîné et qu'il admire, s’engage comme volontaire fin 1915. A dix-sept ans, il est élève caporal au 30ème bataillon de Chasseurs Alpins. Il est ensuite envoyé sur le théâtre des opérations et sert comme aspirant au 51ème bataillon de Chasseurs Alpins. Mais lui-aussi est tué à dix-huit ans, le 16 août 1916, au combat de Maurepas dans la Somme. Son corps sera, comme il l'avait demandé, ramené auprès de celui de son frère à côté duquel il repose, dans la forêt de Metzeral, Haut-Rhin. En 1920, il sera décoré de la médaille militaire, à titre posthume.
Dernière lettre de Pierre à sa familleDimanche 16 juillet 1916A ma famille,Dans deux jours, nous allons partir à l’attaque. Si jamais à moi aussi les hasards de la guerre étaient funestes, à quoi d’ailleurs il faut s’attendre, je tiens dans cette dernière lettre :A remercier tous mes parents, spécialement mes sœurs, tante Jeanne, oncle Paul et tante Magdeleine des soins dont ils m’ont toujours entouré et de l’affection qu’ils n’ont jamais cessé de me témoigner. Je leur demande également à tous de me pardonner. Si ma vie n’a pas toujours été conforme à ce qu’elle aurait dû être et si par ma faute je leur ai occasionné soit aux uns soit aux autres un chagrin quelconque, j’espère que ma mort qui sera conforme à celle de notre pauvre Jean, c’est-à-dire face à l’ennemi et sans défaillances, me réhabilitera aux yeux de tous et que de mes petites fautes il n’en sera plus question.Pour mes sœurs et ma petite Betty spécialement, je regrette que le sort ne me laisse pas en vie pour pouvoir les aider et les soutenir un peu, mais je souhaite de toute mon âme qu’elles aient toutes trois une vie plus heureuse et exempte de souffrances et de peines.Je désirerai maintenant :A/ Être enterré si possible avec mon frère. Puisque nous serons tombés ensemble pour la même belle cause, il est juste que nous dormions ensemble.B/ Je voudrais également que le petit capital que je possède soit partagé de la façon suivante : 1/3 à Bébelle ; 1/3 à Mimi ; 1/3 à Betty.Ce sont là tous mes derniers désirs. Je prie encore tous mes parents de ne point trop me pleurer. J’ai eu la mort que tout Français doit envier car c’est la plus noble. Souvenez-vous, pour moi aussi, des paroles du Capitaine Belmont « Il ne faut pas pleurer, il faut envier ». Encore une fois merci à tous. J’embrasse affectueusement toute ma famille et c’est avec courage que je leur dis « au revoir».16 juillet 1916, Franchers, ds la Somme
P. Capdepon
CITATION A L’ORDRE DU 20ème CORPS D’ARMÉE AVEC LE MOTIF SUIVANT« Jeune engagé volontaire de la classe 1918, chef de section d'un entrain et d'un courage au-dessus de tout éloge. Blessé d'un éclat d'obus à la gorge, a refusé de se laisser évacuer. A entraîné superbement sa section sous un violent tir de barrage d'artillerie et de mitrailleuses. Est tombé glorieusement en abordant les tranchées ennemies ».Marie, orpheline, ayant perdu ses deux frères à la guerre et une sœur en montagne, est élevée et adoptée officiellement en janvier 1925 par sa tante CREPET, née Rose Marie Jeanne ETIENNE, dont le mari est Ingénieur à la CAFL. Marie est restée célibataire. En 1920, elle entre comme professeur aux Cours Belmont de Lyon, fondés par Mlles. Angèle et Marie-Louise Belmont et en 1980 elle en devient la directrice. Selon ses volontés, elle sera inhumée à Saint-Lattier en 1995, rejoignant ainsi ses chers et regrettés parents.
Fin de l’histoire. Faut-il ajouter des mots ? Non, ils seraient inutiles. On ne peut que s’incliner devant tant de malheurs. La pauvre grand-mère Gabrielle est morte à Lyon en 1916, sans doute très éprouvée par la mort de sa fille, sa petite-fille, son gendre, et son premier petit-fils, et juste avant la mort du second. Elle repose à St.Cyr-au-Mont-d'Or. -
Chers membres ou amis de la famille, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les billets que je poste sur les histoires de famille. Merci de vos contributions, remarques, observations... R.E.
mercredi 15 novembre 2017
Histoire de la famille CAPDEPON
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Bonjour
RépondreSupprimerPourrais je vous contacter peut-être par telephone sur ce sujet?
Merci par avance
Bonjour. Désolé, mais je ne tiens pas à donner en public mon numéro de téléphone. Je reste à votre écoute sur le sujet, qui peut être traité ici. Merci, RE
RépondreSupprimerOn s'est contacté par téléphones au sujet de Jean il y a quelques années.
RépondreSupprimerEst ce vous avez une photo de Jean avant guerre. J'ai un album de Mr Belmont capitaine du 11ieme bca mais je n'arrive pas a mettre de nom sur les visages. Avec une photo je pourrais donc l'identifier.
Merci par avance
Bonjour. Retrouvez sa photo sur mon arbre geneanet à : Jean"Louis Marie Eugène CAPDEPON - Si vous m'indiquez votre mail, je puis vous l'envoyer
RépondreSupprimerVoici mon adresse deusrulezz@gmail.com
SupprimerMerci beaucoup pour votre proposition. Je suis preneur :)